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Enseigner le français en contexte migratoire : ingénieries, littératie, inclusion

de Cécile Bruley (Éditeur de volume) Lucile Cadet (Éditeur de volume)
©2024 Collections 482 Pages

Résumé

Cet ouvrage s’intéresse à l’enseignement et à l’apprentissage du français aux publics migrants en contexte francophone. Il vise un double objectif. D’une part, il ambitionne de mettre en lumière les réflexions didactiques contemporaines sur les questions d’enseignement et d’apprentissage du français en situation d’inclusion sociale et scolaire. D’autre part, il illustre des pratiques et propose des outils pour la classe. L’ouvrage réunit des contributions d’acteurs pluricatégoriels du champ du français langue étrangère provenant du monde universitaire mais aussi du monde professionnel. Les articles réunis s’intéressent à l’ingénierie au sens large (ingénierie pédagogique, didactique, de formation), à l’enseignement aux adultes migrants, à l’enseignement aux élèves allophones en contexte scolaire avec un focus particulier sur les problématiques de l’inclusion.
A travers des points de vue divers (enseignants, enseignants-chercheurs, impliqués en didactique du français langue étrangère, seconde, de scolarisation, d’intégration, hospitalière, hôte…), il s’agit de proposer un juste équilibre entre réflexions théoriques et mises en œuvre pratiques, à destination des enseignants de français pour la classe.

Table des matières

  • Couverture
  • Titre
  • Copyright
  • À propos de l’auteur
  • À propos du livre
  • Pour référencer cet eBook
  • SOMMAIRE
  • Contributrices / contributeurs
  • Préambule
  • Préface
  • PARTIE 1 –Ingénierie didactique, ingénierie pédagogique, ingénierie de formation
  • Quel outillage mobiliser pour didactiser des supports authentiques ?
  • Apprendre à enseigner le français oral à des adultes allophones : repères éthiques, linguistiques et didactiques
  • Ingénierie didactique au service du changement en formation. Approches et méthodologies réflexives pour le traitement de la grammaire en français
  • Pour une ingénierie de parcours dans la formation linguistique des adultes migrants, entre contraintes institutionnelles et réalités des apprenants
  • Le dispositif PROFLE+ au service de la professionnalisation des enseignants de français langue étrangère. Pour une articulation recherche, formation initiale et formation continue
  • « Référents FLS » au CASNAV : tâches et compétences
  • PARTIE 2 –Enseigner auprès d’adultes migrants – recherches, expériences, outils et pratiques de classe
  • Les supports pédagogiques dans le champ de l’alphabétisation des adultes : analyse d’une séance de formation sur la mobilité urbaine
  • Apprendre à lire et à écrire à des adultes migrants : pour une approche actionnelle des apprentissages fondamentaux de la lecture-écriture en FLS
  • Usages didactiques du téléphone portable pour entrer dans l’écrit à l’âge adulte
  • Approches actionnelles et apprentissage de la lecture-écriture à l’âge adulte : pourquoi et comment didactiser des supports authentiques ?
  • La formation linguistique des migrants en groupes hétérogènes
  • La découverte de lieux culturels pour faciliter l’expression orale d’adultes migrants en formation
  • « Il faut dire oui dans la classe mais ouais dans la rue » : vers une appropriation critique de la variété hégémonique
  • PARTIE 3 –Enseigner et inclure en contexte scolaire : de l’analyse des discours à l’analyse des pratiques de classe
  • A quels textes se référer pour la scolarisation et la scolarité des élèves allophones arrivant dans le second degré du système éducatif français ?
  • Interroger l’inclusion scolaire des élèves allophones nouvellement arrivés
  • Inclusion et relations en contexte d’enseignement-apprentissage aux élèves allophones nouvellement arrivés en France
  • Représentations altéritaires des enseignants et besoins en formation à la médiation pour la scolarisation des élèves allophones
  • Relier multimodalité et répertoire plurilingue dans un portefeuille de ressources plurisémiotiques
  • Opération mathématique : des besoins des apprenants à l’accompagnement professionnel des enseignants
  • Postface

Préambule

Cécile Bruley et Lucile Cadet

L’ouvrage réunit des contributions d’acteurs pluricatégoriels du champ du français langue étrangère et seconde, provenant du monde universitaire, académique et professionnel. Ainsi, enseignants-chercheurs, enseignants et formateurs, inspecteurs, conseillers, responsables et ingénieurs pédagogiques proposent ici leurs analyses sur des questions d’ingénieries, pédagogique, didactique et de formation tout d’abord (première partie) ; sur des pratiques de classe, des mises en situations professionnelles et des propositions pratiques ensuite (deuxième partie) et enfin s’intéressent à la question de l’inclusion sociale et scolaire, à laquelle nous avons souhaité réserver une place significative dans cet ouvrage car elle représente à notre sens un des enjeux contemporains majeurs du domaine de la didactique des langues (troisième partie). Leurs expériences, leurs points de vue, leurs recherches, sont complémentaires et nous nous réjouissons de les associer et de les faire dialoguer dans un même lieu et au bénéfice de tous les acteurs qui interviennent en enseignement et/ou mènent des recherches, auprès de publics variés (enfants, adolescents, adultes) et dans des contextes divers d’enseignement du/en français.

Préface

Cécile Goï

Ils s’appellent Rafih, Sviatoslav, Sima ou Tensin. Ils sont afghan et ukrainien, elles sont éthiopienne et tibétaine. Tous ont fui la guerre, la misère, les persécutions, la violence. Ils ont vécu la migration, ses ruptures, ses insécurités, ses souffrances et ils font à présent l’expérience de l’exil et d’une société inconnue dans laquelle ils vont devoir apprendre à vivre. La plupart d’entre eux parle plusieurs langues, acquises dès l’enfance ou qu’ils se sont appropriées au fur et à mesure de leur parcours mais ils ne maîtrisent pas toujours le français. Ils vont devoir faire leur cette langue nouvelle, celle qui sera le support de leurs relations dans leur quotidien social, celle avec laquelle ils échangeront dans leur milieu professionnel.

Ils sont parfois venus en famille, avec leurs enfants. Certains de ces enfants sont allés à l’école et d’autres pas du tout. Ceux-ci, celles-ci grandissent à présent dans notre pays. Venus d’ailleurs, ces enfants deviennent des élèves de France. Pour eux et elles aussi, il s’agira de faire du français une langue de leur répertoire : la langue grâce à laquelle ils vont échanger avec leurs camarades, ils vont faire de nouveaux apprentissages, construire de nouveaux savoirs, nourrir leur curiosité.

L’ouvrage que Cécile Bruley et Lucile Cadet coordonnent parle de ces enfants, de leurs parents et, plus largement, des personnes qui sont arrivées un jour sur le sol français en ayant quitté leur pays premier. Il parle d’apprenants et d’élèves dont les empreintes culturelles et linguistiques sont plurielles. Et cet ouvrage questionne : comment penser l’accueil des publics migrants dans la société française et permettre à chacune et à chacun de s’approprier le français comme une langue de leur vie quotidienne ? Pour les plus jeunes, comment les aider à faire du français une langue de leur vie enfantine, tout comme un vecteur solide de leurs apprentissages scolaires ?

L’ambition de Cécile Bruley et de Lucile Cadet est remarquable et mérite d’être saluée : offrir un panorama à la fois conceptuel et pragmatique des éléments en jeu dans cet accueil et dans ces objectifs. Il s’agit pour elles de réfléchir de façon globale et interreliée les questions d’ingénierie et de dispositifs ; les éléments plus spécifiques liés aux langues, à leur apprentissage et à leur appropriation ; avec la visée majeure qu’est l’inclusion de ces publics migrants dans la société française et dans son école pour les enfants.

C’est sur ce dernier point que j’axerai principalement mon propos ici : comment penser l’inclusion des publics migrants, ces « nouveaux venus » à double titre (Arendt, 1972), dans un objectif de reconnaissance de leur singularité, sans assignation discriminatoire ? Quelle visée de justice sociale et d’inclusion équitable des adultes et des jeunes ? Quelle(s) place(s) accordée(s) ou à accorder aux langues et aux empreintes culturelles de ces migrants dans cette perspective ? Et comment penser l’ensemble dans le respect de la nation d’accueil, avec ses propres constructions socio-historiques, ses représentations sociales et ses institutions ?

Une inclusion équitable : un souci de justice

Commençons par nous intéresser à ce qu’est l’intention des éléments identifiés ici : l’inclusion. Qu’est-ce donc que cette notion, ce concept, qui est aujourd’hui un objectif central de l’institution scolaire, voire de la nation tout entière ? Une définition de sens commun peut aider à la compréhension de l’idée d’inclusion en éducation et en formation :

« L’inclusion consiste à transformer les systèmes éducatifs et formatifs, de façon à les rendre capables de répondre à la diversité des apprenants, de leurs situations, de leurs projets et de leurs besoins d’apprentissage. L’inclusion suppose de rétablir l’équité en permettant à chacun de voir mis en œuvre le respect de sa personne et de ses droits. » (Goï, 2023 : 102).

L’inclusion vise donc à envisager la diversité comme inhérente à l’humanité, faisant de tous des êtres humains à la fois mêmes et autres (Ricœur, 1990). Même parce qu’appartenant à la même humanité et méritant la même attention et la même considération. Autre parce que relevant chacun, chacune d’une singularité radicale qui fait que l’un n’est pas l’autre et qui n’autorise pas à confondre les personnes, à gommer leurs différences, à négliger leur spécificité. En ce sens, l’inclusion se doit d’être équitable, c’est-à-dire que si « l’inclusion consiste à surmonter les obstacles qui limitent la présence, la participation et la réussite d’apprenants », « l’équité consiste à veiller à ce qu’il y ait un souci de justice, de sorte que l’éducation de tous les apprenants soit considérée comme ayant la même importance. » (GAIE, 2017 : 13).

L’inclusion a aussi une dimension opératoire. Qu’il s’agisse d’espace scolaire, de lieu de formation ou de la société dans son ensemble, la notion se décline dans des dispositions d’une part, des dispositifs d’autre part (Agambem, 2007). Ceux-ci doivent répondre à une double contrainte : prendre en compte la singularité des parcours, des projets, des moyens mais en élaborant des dispositifs où la diversité est accueillie dans un espace collectif qui fasse pourtant communauté.

L’inclusion s’oppose dans son esprit et dans ses mises en œuvre à la notion de ségrégation dont on sait aujourd’hui qu’elle « désigne conjointement une situation objective de concentration d’une population dans un espace qui lui est assigné et un rapport coercitif qui génère l’assignation de cette population à cet espace, rapport perpétué par des logiques systémiques et des pratiques sociales tendant à mettre à part cette population ou à la priver de droits.[…] Dans le domaine scolaire, le concept de ségrégation s’appliquera à une configuration qui segmente la population d’élèves de manière à mettre à part une catégorie d’enfants en les affectant dans des classes où une carrière scolaire inférieure les attend. » (Lorcerie, 2003, p. 181). Cette ségrégation implique ainsi une mise à l’écart et l’isolement d’une personne ou d’un groupe et, dans la société comme dans son école, la ségrégation peut toucher « des groupes distingués selon des critères culturels et ethniques » (Brun, 2008, p. 44) ou linguistiques (Bertucci, 2013 ; Lorcerie, 2003).

Nous avons montré précédemment comment les dispositifs scolaires d’accueil des élèves migrants et leur mise en œuvre par les acteurs de l’éducation sont susceptibles de fabriquer des horizons éducatifs potentiellement ségrégatifs en associant des espaces et « classes » dédiées, une didactique du français comme une langue qui ne serait pas pratiquée au quotidien, des représentations de l’altérité comme assignative et irréductible, etc. (Goï, Huver, 2013). Nous avons aussi montré que l’inclusion ne se décrète pas et que le diable se cache parfois dans les détails. En effet, un dispositif potentiellement inclusif peut tout à fait se révéler contre-productif dans sa mise en œuvre : inscrire un élève dans une classe « ordinaire » ne suffit pas à pratiquer une inclusion effective si cela signifie se montrer indifférent à ses différences et si l’inscription ne s’accompagne pas de pratiques et usages pédagogiques ou didactiques prenant en compte les ressources et les besoins d’apprentissage singuliers des apprenants.

Ainsi, pour les élèves ou apprenants migrants, « dans l’inclusion, l’élément clé n’est pas, comme on pourrait le croire, l’individualisation, mais la diversification de l’offre d’éducation et la personnalisation des expériences communes d’apprentissage. […] Cela implique de progresser vers une conception de l’éducation dans laquelle les programmes, les parcours et l’enseignement tiennent compte, d’entrée de jeu, de la diversité des besoins de tous les élèves » (MEN/MESR, 2009, p. 18).

Il s’agit donc de penser des ingénieries de formation à visée inclusive, telles que celles proposées dans la première partie de cet ouvrage. Du fait des parcours biographiques et migratoires des apprenants migrants, enfants ou adultes, ces ingénieries ont à prendre en compte les dimensions linguistiques et les empreintes sociales ou culturelles dans les perspectives d’apprentissage et de construction de savoir.

Quelle place accorder aux langues du répertoire des apprenants migrants ? Comment favoriser l’appropriation du français en contexte migratoire, tout en reconnaissant les pratiques, les compétences et les ressources déjà-là ? C’est tout l’enjeu d’une réflexion didactique globale à dessein d’inclusion.

Reconnaissance et place des langues du répertoire des apprenants dans l’enseignement/apprentissage du français aux migrants

Avant d’arriver sur un nouveau sol, il faut d’abord quitter un autre pays et émigrer. Nous nous intéressons ici aux migrants ou à leurs enfants pour lesquels émigrer revient à « abandonner l’enveloppe des sensations qui constituent les premières empreintes sur lesquelles s’est établi le codage du fonctionnement psychique » (Nathan, 1988 : 124). Il ne s’agit pas d’un simple voyage, d’un seul changement géographique. Il s’agit d’un bouleversement mettant en jeu les fondements même de la personne, de l’identité. Quand la personne se trouve en situation d’exil, il lui faut ensuite « reconstruire seul et en l’espace de quelques années, ce que des générations ont lentement élaboré et transmis.» (ibid.). Il lui faut aussi – bien souvent – abandonner sa langue, ses langues, celles avec lesquelles elle pouvait discuter, échanger, solliciter, répondre, plaisanter, se défendre, argumenter…

D’un point de vue professionnel, que l’on soit professeur des écoles ou du second degré ou encore formateur d’adultes, travailler avec des apprenants allophones, parfois peu ou non francophones, n’est pas un défi aisé. Des méthodes, des outils, des techniques pédagogiques et didactiques permettent de faciliter les processus d’enseignement / apprentissage d’une langue nouvelle. Je les ai moi-même pratiqués pendant de nombreuses années, je m’en suis enrichie, je les ai amendés, questionnés, critiqués, comme enseignante tout d’abord puis comme chercheure.

Ici, il s’agit de réfléchir plus particulièrement les liens entre l’appropriation du français en contexte migratoire et les compétences et usages des migrants dans leurs langues premières dans deux orientations principales :

  • d’un point de vue cognitif, quels terreaux féconds peuvent représenter les compétences sociolinguistiques et les outils linguistiques des langues premières dans l’apprentissage du français ?
  • comment la reconnaissance symbolique du répertoire des apprenants migrants sert-elle les dynamiques inclusives à l’école et dans la société ?

Sur le plan cognitif, c’est-à-dire sur la façon dont les apprenants apprennent, les enfants et les adultes réfléchissent et raisonnent, il est à noter que leurs compétences dans les langues qu’ils parlent, pour certaines depuis l’enfance, représentent des ressources, voire des pré-requis pour l’apprentissage de langue(s) nouvelle(s). Pour proposer une analogie, y aurait-il un professeur de mathématiques qui renoncerait aux pré-requis que sont la maîtrise de la multiplication et de la soustraction dans l’apprentissage d’une nouvelle technique telle que la division ? On peut sans crainte faire l’hypothèse qu’il n’y en aurait aucun. Pour quelle raison alors, un enseignant de français langue étrangère ou seconde renoncerait-il à s’appuyer sur les ressources que constituent les compétences déjà-là dans d’autres langues ? Dans les dynamiques de littératie, peut-on se priver de l’apprentissage antérieur de la lecture-écriture dans une langue première comme soutien, pour comprendre les phénomènes de codage/décodage ou de correspondance grapho-phonétique de certaines langues écrites ? Nathalie Auger (2005 ; 2010) a largement montré comment une approche plurilingue facilite l’appropriation d’une nouvelle langue et d’autres ont exposé (Cummins & Swain, 1986 ; Cummins, 2000 ; Coste, 2002 ; Coste, Moore & Zarate, 2009 ; Beacco & Byram, 2007 ; etc.) comment le plurilinguisme renforce les compétences méta-linguistiques des locuteurs. J’ai moi-même mené une recherche avec de jeunes élèves allophones sur le couple notionnel réflexivité et plurilinguisme en identifiant comment cette articulation développe les dynamiques d’apprentissage du français en contexte migratoire. La reconnaissance et l’utilisation didactique des compétences en langue(s) première(s) est donc un bénéfice dans l’appropriation du français.

Sur le plan symbolique, j’ai déjà développé l’idée que l’école – et plus largement la nation française – fait une place tout à fait légitime aux langues régionales qui sont enseignées mais peu parlées au quotidien, alors que l’institution scolaire néglige les langues familiales et les langues de la migration, très peu enseignées et étudiées bien qu’elles soient – elles – très largement parlées sur notre sol. Or, il faut rappeler que :

« La reconnaissance des langues familiales à l’école donne un poids fort aux habiletés linguistiques de l’élève et introduit une reconnaissance symbolique, susceptible de concilier voire de réconcilier le continuum biographique de l’enfant, sur le plan diachronique comme sur le plan synchronique.

Sur le plan diachronique, une reconnaissance institutionnelle des langues de l’enfant permet d’articuler les différentes étapes de sa vie, dans leur chronologie. Qu’il ait été migrant ou qu’il ait parlé d’autres langues à la maison avant son entrée à l’école, la conciliation du cheminement biographique redonne cohérence à un parcours linguistique fait alors de ruptures mais aussi de continuités. Sur le plan synchronique, dans la réalité de la diversité des espaces sociaux et culturels investis par l’enfant allophone, à l’école et en dehors de l’école, cette reconnaissance préserve la diversité et les choix de rendre visibles ou invisibles certains éléments mais sans introduire de tentation schizophrénique, portant au clivage des espaces symboliques » (Goï, 2016 : 33 &34).

Les textes présentés dans le présent ouvrage proposent plusieurs entrées, à la fois didactiques et pédagogiques sur l’enseignement du français aux migrants, tout à fait riches. Dans la perspective inclusive qui nous occupe, il me semble que la question des langues du répertoire des apprenants comme outil cognitif et comme reconnaissance symbolique offre un complément intéressant.

Résumé des informations

Pages
482
Année
2024
ISBN (PDF)
9782875748010
ISBN (ePUB)
9782875748027
ISBN (Broché)
9782875748003
DOI
10.3726/b21443
Langue
français
Date de parution
2024 (Juillet)
Mots clés
didactique du français langue étrangère et seconde formation de formateurs ingénieries littératie inclusion
Published
Bruxelles, Berlin, Chennai, Lausanne, New York, Oxford, 2024. 482 p., 40 ill. en couleurs, 13 ill. n/b, 53 tabl.

Notes biographiques

Cécile Bruley (Éditeur de volume) Lucile Cadet (Éditeur de volume)

Cécile BRULEY, maître de conférences à l’Université Sorbonne Nouvelle, est impliquée dans le domaine de la didactique des langues et du FLE.S depuis plus de vingt ans. Lucile CADET est professeure des universités à l’INSPE de l’Académie de Versailles – CY Cergy Paris Université, membre du laboratoire EMA – Ecole, mutations, apprentissages, EA 4507 et responsable du Master Former et Intégrer par la langue.

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