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Le doctorat, aventure de (trans)formation singulière et sociale

Éclairages au prisme des émotions

de Colette Niclasse (Auteur)
©2022 Thèses 302 Pages
Open Access

Résumé

Cet ouvrage propose une exploration de l’aventure doctorale dans le regard de
celles et ceux qui la vivent, les doctorant·e·s, au travers du prisme des émotions.
Il aborde, dans une perspective psychopédagogique, les défi s inhérents à cette
formation exigeante dont l’une des fi nalités est la construction individuelle et
sociale des connaissances. À partir de deux constats préoccupants – le taux
d’abandon élevé et l’état de santé critique des doctorant·e·s – l’ouvrage questionne
les conditions individuelles et situationnelles qui soutiennent ou entravent
le processus d’apprentissage et d’appropriation créative, en présumant
que le bien-être constitue la pierre angulaire de la (trans)formation. Après
quelques balises théoriques, des éclairages sur l’expérience doctorale sont amenés
en deux volets complémentaires. Le premier dresse un panorama international
de sept tendances issues de 70 recherches réalisées au cours des vingt
dernières années. Le deuxième présente les résultats de l’étude longitudinale
menée par l’autrice entre 2016 et 2017 auprès de 26 doctorant·e·s d’une université
suisse. Les leviers et les freins du quotidien sont décrits à partir de 256
évènements signifi catifs. Puis, 26 vignettes d’évènements particulièrement
(dé)mobilisateurs illustrent comment ces doctorant-e-s se (trans)forment durant
leurs activités au contact de leur environnement. L’ouvrage se termine par
une réfl exion critique sur l’accompagnement du doctorat et la culture pédagogique
dans laquelle il s’inscrit. Des recommandations sont proposées à l’usage
des actrices et acteurs de la formation doctorale, pouvant inspirer plus largement
celles et ceux de la formation post-obligatoire.

Table des matières

  • Couverture
  • Titre
  • Copyright
  • À propos de l’auteur
  • À propos du livre
  • Pour référencer cet eBook
  • Table des matières
  • Liste des tableaux
  • Liste des figures
  • Préface
  • Chapitre 1 Introduction
  • 1 La formation doctorale, une aventure singulière
  • 2 Deux constats préoccupants
  • 3 Un silence assourdissant
  • Chapitre 2 Se (trans)former : quelques repères théoriques
  • 1 Le bien-être, pierre angulaire de la (trans)formation
  • 1.1 S’épanouir et advenir personnellement
  • 1.1.1 Le bien-être subjectif : vivre un moment (dés)agréable
  • 1.1.2 Le bien-être eudémonique : mener une vie épanouissante
  • 1.1.3 Les besoins psychologiques fondamentaux : le socle de vitalité
  • 1.1.4 Les aspirations : les buts existentiels
  • 1.1.5 Les motivations : les moteurs de l’action vers les buts
  • 1.1.5.1 Des intentions et des actes personnels en tension
  • 1.1.5.2 Une trajectoire inscrite dans l’interaction avec l’environnement
  • 1.1.6 La conscience réflexive : faire sens du vécu
  • 1.2 Ressentir et éprouver
  • 1.2.1 L’émotion, indice d’un évènement important
  • 1.2.2 L’évaluation cognitive : être touché·e par les circonstances
  • 1.2.3 Le sentiment subjectif : se sentir et se vivre dans un état différent
  • 1.2.4 Quelques familles d’émotions et leurs caractéristiques
  • 2 Se développer personnellement et professionnellement
  • 2.1 Les cinq moments de l’apprentissage vers la subjectivation
  • 2.1.1 Construire de nouvelles connaissances
  • 2.1.2 Mobiliser les nouvelles connaissances et s’en imprégner
  • 2.1.3 Amorcer la distanciation
  • 2.1.4 Construire sa propre voie
  • 2.1.5 S’affirmer et se confronter au regard d’autrui
  • 2.2 Apprendre au travail
  • 2.2.1 Participer et interagir
  • 2.2.2 Être guidé·e par un maître
  • 2.2.3 Disposer d’occasions d’apprendre
  • 3 Les repères théoriques en synthèse
  • Chapitre 3 Le doctorat par celles et ceux qui le vivent : volet international
  • 1 Repérer les tendances quant au vécu des doctorant·e·s
  • 2 Panorama international au prisme des émotions
  • 2.1 Trouver du sens
  • 2.2 Apprendre
  • 2.3 Progresser et percevoir sa maîtrise
  • 2.4 Développer son autonomie
  • 2.5 Produire des connaissances et les diffuser à la communauté scientifique
  • 2.6 Interagir avec son environnement social
  • 2.7 Gérer ses ressources et trouver un équilibre de vie
  • Chapitre 4 Le doctorat par celles et ceux qui le vivent : volet fribourgeois
  • 1 Approcher le vécu quotidien des doctorant·e·s
  • 2 Le doctorat au quotidien
  • 2.1 Évènements favorables
  • 2.1.1 Un vécu émotionnel agréable, mais aussi ambivalent
  • 2.1.2 Des besoins psychologiques satisfaits
  • 2.1.3 Un environnement soutenant les besoins psychologiques
  • 2.1.4 Les évènements favorables en synthèse
  • 2.2 Évènements défavorables
  • 2.2.1 Un vécu émotionnel principalement désagréable
  • 2.2.2 Des besoins psychologiques non satisfaits, voire menacés
  • 2.2.3 Un environnement fragilisant les besoins psychologiques
  • 2.2.4 Les évènements défavorables en synthèse
  • 2.3 Évènements contrastés
  • 3 Leviers et freins au bien-être et à l’accomplissement du doctorat
  • 4 Se (trans)former au travers d’évènements majeurs
  • 4.1 Les trajectoires d’engagement
  • 4.1.1 Envisager le doctorat : une diversité de motifs
  • 4.1.2 L’acte d’engagement : une possibilité et quelques barrières
  • 4.1.3 Le contexte de l’engagement : le choc des environnements
  • 4.1.4 La (re)construction du sens du doctorat et du projet professionnel
  • 4.2 Évènements démobilisateurs
  • 4.2.1 Stagner, être bloqué·e, se sentir désemparé·e
  • 4.2.2 Se sentir heurté·e et questionné·e dans ses valeurs et aspirations
  • 4.3 Évènements mobilisateurs
  • 4.3.1 Explorer et se positionner dans un nouveau territoire
  • 4.3.2 Prendre du recul et se recentrer
  • 4.3.3 Créer de nouvelles connaissances
  • 4.3.4 (Se) confronter (ses propositions) au regard d’autrui
  • Chapitre 5 L’aventure doctorale comme processus de (trans)formation
  • 1 Les ingrédients de la (trans)formation en synthèse
  • 2 Un parcours semé d’aléas et d’embûches
  • 3 Un parcours jalonné d’opportunités
  • 4 Un parcours modulé par les émotions
  • 5 De la nécessité d’offrir un environnement capacitant et une interaction sociale constructive
  • Chapitre 6 Accompagner une aventure singulière
  • 1 Recommandations aux doctorantes et aux doctorants
  • 2 Recommandations aux responsables de programmes doctoraux, aux formatrices et formateurs
  • 3 Recommandations aux superviseur·e·s et autres personnes encadrant des doctorant·e·s
  • 4 Recommandations aux institutions
  • Conclusion générale
  • Vers une éthique de l’accompagnement et de la relation
  • Remerciements
  • Liste des références
  • Titres de la collection

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Liste des tableaux

Tableau 1 : Les aspirations existentielles, le « quoi » ou contenu des buts orientant l’action

Tableau 2 : Familles d’émotions agréables

Tableau 3 : Familles d’émotions désagréables

Tableau 4 : Exemples de pratiques permettant de créer un environnement facilitateur

Tableau 5 : Matrice des doctorant·e·s de l’échantillon fribourgeois

Tableau 6 : Familles d’émotions selon leur fréquence dans les évènements significatifs

Tableau 7 : Synthèse des caractéristiques des évènements émotionnels significatifs du quotidien favorables au bien-être et à l’accomplissement du doctorat

Tableau 8 : Synthèse des caractéristiques des évènements émotionnels significatifs du quotidien défavorables au bien-être et à l’accomplissement du doctorat

Tableau 9 : Répartition des évènements majeurs démobilisateurs en famille de cas

Tableau 10 : Matrice des évènements bloquants démobilisateurs

Tableau 11 : Matrice des évènements démobilisateurs heurtant les valeurs et aspirations

Tableau 12 : Répartition des évènements majeurs mobilisateurs en famille de cas

Tableau 13 : Matrice des évènements mobilisateurs du début de doctorat – assimiler et se positionner

Tableau 14 : Matrice des évènements mobilisateurs du milieu de doctorat – prendre de la distance

Tableau 15 : Matrice des évènements mobilisateurs de fin de doctorat – construire des connaissances inédites

Tableau 16 : Matrice des évènements mobilisateurs de fin de doctorat – (se) confronter et s’affirmer vis-à-vis d’autrui

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Tableau 17 : Pratiques d’accompagnement pour créer un environnement soutenant la (trans)formation

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Préface

Cet ouvrage s’adresse à vous, superviseur·e, doctorant·e ou futur·e doctorant·e et plus largement actrice et acteur de l’enseignement supérieur. Sa lecture fera écho à votre expérience. Elle vous apportera des réponses rigoureuses et précises quant aux conditions de réalisation de ce très long parcours de (trans)formation qu’est la thèse de doctorat. Elle ouvrira de nombreuses pistes de réflexion et d’action pour comprendre et gérer ce parcours que ce soit le vôtre, celui de la personne que vous accompagnez ou plus largement de l’ensemble des doctorant·e·s et des étudiant·e·s dont vous êtes responsable.

Au-delà de ses impacts potentiels – car ils dépendront de vous lectrices et lecteurs –, cet ouvrage est également issu d’une thèse, une recherche qui aborde la formation doctorale dans toute sa complexité. À vous de trouver la manière d’aborder l’ouvrage pour lequel l’autrice vous propose plusieurs parcours. Une seule exigence serait d’accepter d’assumer avec elle la responsabilité éthique d’écouter la parole des doctorant·e·s et de se laisser transformer par elle.

Par les métaphores utilisées, un soin particulier apporté à une écriture inclusive, la mise en évidence des aspects saillants et en s’adressant directement à vous lectrice ou lecteur, Colette Niclasse va bien au-delà la publication de sa thèse. Elle réalise un travail de médiation indispensable. Celui-ci est d’autant plus nécessaire que l’on doit souvent constater la résistance de la communauté académique à soutenir, valoriser, exploiter une recherche sur elle-même. « Nous savons ce que nous faisons ! ». Et, lorsqu’une envie de savoir ou la réponse à une injonction évaluative l’y oblige, sa tendance à produire à l’interne ses propres enquêtes sans interroger les travaux antérieurs ou la littérature scientifique.

La problématique a été construite sur la base d’une analyse fine du contexte particulier de la formation doctorale en Suisse. Les doctorant·e·s y ont un statut ambivalent : entre l’étudiant·e et la ou le professionnel·le. Leur situation ne se démarque pas de celle observée au niveau international : haut taux d’abandons et atteintes à leur santé. Comme ←19 | 20→le souligne l’autrice, les doctorant·e·s sont souvent considéré·e·s comme très peu crédibles pour s’exprimer à propos des conditions qui leur sont offertes : « Un silence assourdissant les entoure ». L’objectif dès lors est de mettre en lumière ce dont elles et ils ont besoin pour se (trans)former en menant leur recherche, en leur donnant la parole, une parole incarnée inscrite dans le parcours et le contexte de vie de chacun·e. Ainsi, les conditions de réussite et de bien-être de 26 doctorant·e·s sont appréhendées au prisme des émotions vécues au fil de leur parcours. S’agissant d’une thèse sur la thèse, elle prend toutes les précautions afin d’éviter le risque d’un discours sans nuance ou trop rapidement centré sur des solutions à une problématique mal élucidée.

Les balises théoriques relatives aux composantes du bien-être eudémonique et aux émotions – en se focalisant sur leur évaluation cognitive, sur le sentiment subjectif associé et sur les familles d’émotions favorables ou défavorables touchant les doctorant·e·s dans leur parcours – sont tout d’abord présentées. Elles permettent de rendre intelligible ce « socle de vitalité » soutenant l’engagement des doctorant·e·s dans une activité si coûteuse. Ensuite, ce sont les processus et les conditions du développement personnel et professionnel qui sont décrits en adoptant la perspective « relationnelle de la subjectivation » proposée par Bourgeois (2018). Les conditions de ce développement sont détaillées en tirant parti de la perspective de l’apprentissage situé et en insistant sur deux aspects essentiels, la participation aux activités de la communauté scientifique proche ou plus éloignée et la guidance indispensable apportée par la ou les personnes jouant le rôle du « maître ». La synthèse théorique est complétée par des propositions pratiques tout à fait pertinentes. Le lecteur trouvera dans la présentation de ce cadre théorique, un état de l’art de travaux de recherche récents offrant à la lecture de ce chapitre un intérêt dépassant l’étude de la formation doctorale.

L’autrice présente ensuite un panorama international des recherches et méta-analyses réalisées entre 1994 et 2018 concernant le parcours des doctorant·e·s. Le focus de cette analyse rigoureuse de la littérature vise à identifier les connaissances concernant les évènements importants vécus durant la formation doctorale. Ainsi, 7 sources principales d’expériences émotionnelles sont identifiées.

Après ce volet international, Colette Niclasse présente l’étude qu’elle a menée durant six mois auprès de 26 doctorant·e·s et qui constitue le « volet fribourgeois » de l’ouvrage. Cette recherche empirique aux méthodes mixtes permet, comme le dit l’autrice, de « rassembler les ←20 | 21→pièces du puzzle » en identifiant « ce dont les doctorant·e·s ont besoin pour se développer ». Une présentation synthétique de la méthode fournit les éléments essentiels aux chercheuses et chercheurs souhaitant comprendre la démarche de l’autrice. Une première partie de résultats intitulée « le doctorat au quotidien » donne accès à une analyse de 256 évènements rapportés par les doctorants·e·s au cours des trois semaines d’auto-observation (réparties par bloc d’une semaine par mois pendant quatre mois). Des évènements favorables, défavorables et ambivalents sont présentés. Cette approche permet d’avertir la lectrice et le lecteur des écueils potentiels, mais aussi de leviers d’action possibles. L’analyse de ce qui soutient les doctorant·e·s au quotidien, émaillée de la présentation d’extraits d’entretiens, permet de repérer très concrètement les actions et attitudes à adopter ou à éviter pour créer des conditions favorables au développement de la ou du doctorant·e. L’échange avec la ou le superviseur·e est central. Connaître les leviers sur lesquels, il est possible d’agir constitue une connaissance devant faire partie non seulement de la formation des professeur·e·s, mais aussi de celle des personnes chargées de mettre en place des conditions d’accueil et d’accompagnement au niveau institutionnel.

Au-delà des échanges avec la ou le superviseur·e, bien d’autres conditions existent. L’approche relationnelle adoptée par Colette Niclasse présente ici tout son sens. C’est en situation de travail que la ou le doctorant·e· se développe. Superviseur·e, équipe de recherche et institution sont coresponsables avec elle ou lui de son développement. Cette responsabilité ne concerne pas seulement les individus qui font confiance à une institution, mais aussi la société qui bénéficiera ou non de chercheuses et chercheurs aux compétences et personnalités développées dans des conditions favorables. Les extraits d’entretiens sélectionnés par Madame Niclasse doivent questionner quant aux impacts délétères tant sur les personnes que sur les connaissances produites lorsque les conditions du développement font défaut.

Une seconde partie de l’étude fribourgeoise permet, à partir d’analyses de cas, de comprendre comment certains évènements émotionnels quotidiens majeurs affectent la trajectoire d’engagement des doctorant·e·s et le sens que cette trajectoire prend pour elles et eux et, en particulier, comment les configurations de composantes individuelles et/ou situationnelles de ces doctorant·e·s interagissent dans leur processus de (trans)formation. Les analyses des évènements qu’ils soient mobilisateurs ou démobilisateurs sont étayées théoriquement par rapport aux recherches ←21 | 22→menées sur la thèse mettant notamment en évidence des seuils à franchir. Dans son analyse intercas, l’autrice met notamment en évidence deux familles de cas particulièrement critiques : « stagner, errer et se sentir désemparé·e·s » et « heurter et questionner ses valeurs et aspirations ».

L’analyse des processus d’intériorisation de normes conduisant dans des environnements trop contrôlants au conformisme et à la dépendance doit questionner. Au-delà de la (trans)formation de la ou du doctorant·e, c’est de la qualité de la recherche dont il est question. L’analyse des configurations propices à la réflexivité critique et à la créativité, rendant intelligibles « la science en train de se faire », souligne les exigences d’un environnement de travail capacitant permettant l’émergence d’une interaction constructive avec la ou le doctorant·e pouvant tirer parti des opportunités d’apprentissage et de développement offertes.

La dernière partie de l’ouvrage est tournée vers l’avenir. En proposant des pistes concrètes pour un accompagnement « ambitieux et éthique » centré sur le processus de (trans)formation des chercheuses et chercheurs et non sur le produit fini ou ses marqueurs normés – un processus porté par un « collectif accompagnant » comme le nomme Maela Paul – Colette Niclasse tranche avec les propositions multiples d’ateliers destinés aux doctorant·e·s qui ne mobilisent, ni ne questionnent l’environnement de travail ou institutionnel. Ces propositions fondées théoriquement et empiriquement s’adressent à nous lectrices et lecteurs. Elles démontrent, si besoin en était encore, tout l’intérêt, la pertinence et les apports de cet ouvrage tant sur le plan théorique et méthodologique que pour la formation des doctorant·e·s et au-delà pour la formation de professionnel·le·s. Les conclusions de l’ouvrage mériteront d’être relues, communiquées et partagées largement. Formulons le vœu qu’elles soutiennent les changements nécessaires au bénéfice de la formation des chercheuses et chercheurs et de la recherche.

Bernadette Charlier

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Chapitre 1 Introduction

1 La formation doctorale, une aventure singulière

Imaginez… Avec quelques documents dans votre sac à dos et plein d’idées sous votre Stetson, vous partez explorer une contrée dont la topographie, la faune et la flore sont encore largement méconnues. Votre mission est de produire une carte qui sera à la fois actuelle, circonstanciée et prospective, perspicace et pointue. En outre, on attend de vous que, chemin faisant, vous acquériez toutes les ficelles du métier d’explorateur tout en perfectionnant vos connaissances et vos compétences.

Résumé des informations

Pages
302
Année
2022
ISBN (PDF)
9782875746504
ISBN (ePUB)
9782875746511
ISBN (Broché)
9782875746498
DOI
10.3726/b19953
Open Access
CC-BY-NC-ND
Langue
français
Date de parution
2022 (Décembre)
Published
Bruxelles, Berlin, Bern, New York, Oxford, Warszawa, Wien, 2022. 302 p., 5 ill. en couleurs, 4 ill. n/b, 17 tabl.

Notes biographiques

Colette Niclasse (Auteur)

Colette Niclasse est docteure en Sciences de l’éducation. Elle est également titulaire d’une licence en psychologie et d’un master en psychologie et pédagogie. Elle travaille comme coordinatrice de formation et conseillère pédagogique auprès de l’Université de Fribourg en Suisse. Ses intérêts, nés de sa pratique d’enseignante et de formatrice d’adultes, concernent l’apprentissage, sous ses aspects affectifs et motivationnels en particulier.

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Titre: Le doctorat, aventure de (trans)formation singulière et sociale